Bienvenue

euphémie était ravie que gam lui tienne compagnie
puis au bout d'un certains ils virent arriver dame lhunne

"bonjour dame lhunne , vous allez bien , je suis venue vous voir pour le poste d'assistant tribun "

elle lui sourit et attendit ....



"a ljd lhunne, pas de souci ca arribve à tout le monde "

Alors je vous souhaite la bienvenue, reprit-elle. Je peux vous montrer le bureau du tribun. Je pense qu'il y a assez de place pour deux
En tout cas, il y assez de boulot pour deux

Et elle les invita à la suivre jusque dans la dite pièce...

Je me présente suite a la discussion en taverne avec le maire Ka_devirieux.
J`attends qu`il m indique la pièce qu`il m avait parlé.

Arrive, dans un grand fracas de bottes, de ferrailles et de fourrures, l'Embrunais.

-Hola! J'voudrais causer avec Ninoua!

L'Embrunais morigénait la pierre, attendant qu'un comis lui vienne, après avoir entendu les échos mourants de sa gueulante. Mais ce furent par bonheur les pas de la mairesse qui résonnèrent dans le long colimaçon qui la menait hors de son bureau. Felryn, content de voir sa collègue, leva les bras en s'avançant vers la Briançonnaise:

-Ah Ninoua! Tutoie-moi. Tu l'disais toi-même, nos villes sont soeurs jumelles. Et puis, j'suis pas là d'puis si longtemps qu'il paraît. Mais comment vas-tu? Et Briançon? J'ai cru comprendre qu'une famille de Valence vous prêtait main forte. J'suis content qu'l'appel de Bonissima ait fait effet, même si l'aide est modeste, l'en reste pas moins précieuse...Mais, c'est pas suffisant. Et c'est d'ça que j'voudrais parler avec toi. J'ai une petite idée qui s'tente, pour peu qu'on s'en donne les moyens. Si t'es prête à me suivre. Toi et les Briançonnais qui auront l'coeur à l'ouvrage.

La seule chose que Felryn étreignait jamais était une hache fermement campée dans sa paume. Il ne témoignait jamais mieux son amitié à autrui qu'en restant à distance pondérée. Puis, même s'il s'était calmé, il ne faisait jamais bon de rester trop près de l'Embrunais, surtout en soirée de ronde lune ou trop alcoolisée. Personne, sans doute, ne le savait mieux que celle dont la voix résonna bientôt en arrière. Felryn gronda:

-Moi qui pensais êt' parti discrètement! *Se retournant vers Ninoua* J'vais comme un caillou lancé, pour ma part. Même si Embrun a regrimpé grâce aux dons des villageois faits à la demande de Laurelyne, on sait très bien qu'notre situation n'va pas s'arranger. Les marchands ne s'aventurent plus par chez nous, une fois la blanche tombée.

Se retournant pour voir apparaître Laurelyne, l'Embrunais haussa un sourcil querelleur que soulignait le mince sourire d'un apostat transporté par la vue d'une illumination.

-Ah! Laur'lyne...J'aurais dû t'prévenir plus tôt, sans doute. Enfin, Ninoua doit savoir qu'à nous deux, on se passe le fauteuil d'Embrun comme un ballon. C'est bien qu'tu sois-là. Allons nous réchauffer dans...'fin, j'veux dire. Allons discuter dans une salle plus chaude.

Grommelant penaudement, il emboîta le pas de l'élue de Briançon.

bonjour,

me voila ninoua